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Agriculture

16 exploitations diverses et variées sont actuellement sur notre commune ce qui représentent 24 actifs.

Les agriculteurs et agricultrices ont une moyenne d’âge de 52 ans mais 12 ont plus de 55 ans. Ainsi, l’épineuse question des reprises des exploitations est à l’ordre du jour.

Bonne nouvelle, 3 jeunes sont actuellement en étude pour s’installer !

La viande bovine est présente sur 8 exploitations, le lait de vaches sur 4 et le lait de chèvre sur une, la productions de volailles (poulet, canard, perdrix…) est présente sur 8 exploitations et 2 produisent du lapin. Pour les cultures, la plupart des exploitations utilise de l’implantation à la récolte, le matériel de la CUMA.

Des exploitations diversifient leurs activités avec la plantation de bambou ou la vente directe.

16 exploitations diverses et variées sont actuellement sur notre commune ce qui représentent 24 actifs.

Les agriculteurs et agricultrices ont une moyenne d’âge de 52 ans mais 12 ont plus de 55 ans. Ainsi, l’épineuse question des reprises des exploitations est à l’ordre du jour.

Bonne nouvelle, 3 jeunes sont actuellement en étude pour s’installer !

La viande bovine est présente sur 8 exploitations, le lait de vaches sur 4 et le lait de chèvre sur une, la productions de volailles (poulet, canard, perdrix…) est présente sur 8 exploitations et 2 produisent du lapin. Pour les cultures, la plupart des exploitations utilise de l’implantation à la récolte, le matériel de la CUMA.

Des exploitations diversifient leurs activités avec la plantation de bambou ou la vente directe.


 » Encore méconnue en France, cette culture répandue en Italie offre, à long terme, de nombreux débouchés. « Mon projet vient de démarrer grâce à l’aide du Groupement agricole d’exploitation en commun (Gaec) des Bords de Sèvre, explique-t-il. Il consiste à planter 3 600 pieds de bambous sur deux hectares de terrains.


Par ailleurs, dans le cadre de son Projet Alimentaire Territorial (PAT), le Pays de Mortagne s’est engagé en autres à promouvoir l’alimentation locale et rapprocher les producteurs des consommateurs. Pour cela, un guide de la vente directe a été mis en place visant ainsi à proposer aux habitant d’acheter leurs produits en circuits courts.


 » Encore méconnue en France, cette culture répandue en Italie offre, à long terme, de nombreux débouchés. « Mon projet vient de démarrer grâce à l’aide du Groupement agricole d’exploitation en commun (Gaec) des Bords de Sèvre, explique-t-il. Il consiste à planter 3 600 pieds de bambous sur deux hectares de terrains.


Par ailleurs, dans le cadre de son Projet Alimentaire Territorial (PAT), le Pays de Mortagne s’est engagé en autres à promouvoir l’alimentation locale et rapprocher les producteurs des consommateurs. Pour cela, un guide de la vente directe a été mis en place visant ainsi à proposer aux habitant d’acheter leurs produits en circuits courts.